L’impact de la pandémie du COVID-19 sur le travail des défenseurs des Droits Humains

Les Organisations de promotion et de défense des droits, suite aux mesures de lutte contre la propagation de la pandémie à CORONAVIRUS (COVID-19) ont réduit au strict minimum leurs capacités de travail.

Ainsi, ces organisations ont procédé à la fermeture de leurs différents sièges et privilégié le travail à distance, notamment le télétravail (Zoom, E-mail, WhatsApp, etc.)
Ce nouveau mode de travail plus que nécessaire au regard du taux de propagation de la pandémie à COVID-19, pour être efficace, impose aux Organisations de la Société Civile d’avoir une connexion Internet de qualité ; et bien que pertinente, c’est une insuffisance qu’il est difficile de combler en l’état actuel

• Les activités des projets en cours pour la promotion des Droits Humains, ont été suspendues, le temps de parvenir à une normalisation de la situation sociale et sanitaire

• Les Organisations de promotion et de défense des droits de l’Homme ne peuvent plus tenir de rencontres (ateliers, séminaires,..) pour la continuité de leur travail de promotion et de protection des Droits de l’Homme. Toutes les rencontres importantes de portée nationale, régionale et internationale qui avaient été déjà programmées, ont été reportées

• Les activités de proximité sur le terrain pour s’enquérir des cas présumés de violation des droits de l’Homme et des droits des Défenseurs des Droits Humains sont interrompues. C’est le cas pour la Coalition Ivoirienne des Défenseurs des Droits Humains (CIDDH) qui a interrompu son action habituelle de visites de proximité pour s’enquérir de la situation des Défenseurs des Droits de l’Homme.

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